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Le Blog de Christine Hemberg : conseillère communale de l'Action Citoyenne Ecaussinnoise (ACE) à Ecaussinnes.

21 novembre 2011

ECAUSSINNES doit définitivement tourner le dos à son passé !


Depuis que je m’intéresse à la politique de mon village, je constate que
les campagnes électorales sont agressives et visent trop souvent les personnes.
Ainsi, en 1994, on se souvient d’une campagne terriblement dénigrante menée
tambours battants par Monsieur Robert Stassin, notre ancien Secrétaire communal
et son Union Socialiste Dissidente. La campagne d’alors visait particulièrement
le PS et son Bourgmestre, Monsieur Daniel Delloy. Il s’en est suivi une défaite
électorale du Parti socialiste et la mise sur pied de l’Union de tous les
partis contre le Parti socialiste. En ce qui me concerne, comme beaucoup, j’étais
aux anges. Enfin, le parti socialiste était relégué dans l’opposition après des
décennies de majorité absolue particulièrement néfaste à la démocratie !

Entre 1994 et 2000, l’Union pour la Majorité, sous la houlette de Jean
Dutrieux, connut son âge d’or. Après la chape de plomb socialiste, le Village
retrouvait un nouveau dynamisme et la liberté. Cette majorité se renforça de
façon écrasante en 2000, même si cette liste de cartel, dont faisait partie
l’Union Socialiste dissidente de Robert Stassin, connut alors les premiers
signes de faiblesse. La législature 2000 à 2006 connut l’essoufflement et les
mésententes. On se souvient des disputes entre le Bourgmestre Jean Dutrieux et
le Président USDW du CPAS, José Garitte, avant que l’alliance sacrée entre
Monsieur Jean Dutrieux (MR) et Madame Bulteau (PSC, puis Cdh) ne vole en éclat.

C’est alors que le travail de sape se mit à nouveau en route, toujours
orchestré par les mêmes personnes, et souvent au profit d’autres dont la
moralité me paraît parfois douteuse. A nouveau, comme par enchantement,
sortaient des dossiers de malversations et de détournements visant cette fois
Jean Dutrieux. Lors de cette campagne, Daniel Delloy fut également une nouvelle
fois épinglé.

De mon côté, voir mon Village sombrer de plus en plus dans les conflits
de personnes et la médiocrité, et surtout tomber en ruine, au sens propre du
terme, me motiva à me présenter sur une liste citoyenne, et rejoindre la
majorité. Très vite, je fus à mon tour la cible de ces mêmes personnes. Je fus
ainsi, tour à tour, l’amie des promoteurs immobiliers, l’ennemie de certaines
associations, une personne qui réalise des desseins obscurs en commettant des
faux en écriture (tract diffusé sur la voie publique), une personne responsable
de suicides, une personne inhumaine contre qui le dépôt communal devait faire
grève (j’avais, paraît-il, déposé une plainte contre la famille d’un employé
communal défunt pour abus de biens sociaux (sic !)), et j’en passe et des
meilleurs. Dernièrement, j’aurais commis des faits pénalement répréhensibles
dans le cadre de la réalisation de travaux. Ce sont toujours ces mêmes personnes
qui furent à la manœuvre dans l’épisode du fameux Pacte de majorité, aussi
creux sur le fond que nul et non avenu sur la forme. J’ai été, très, voire trop
souvent, la personne à abattre. Sans doute que mes convictions et mes principes
déplaisent à ceux qui veulent se servir de leur Village plutôt que le servir.

Aujourd’hui encore, au centre de cette façon de faire de la politique,
encore et toujours quelques personnages pour qui la sagesse ne vient pas avec
l’âge et qui continuent à construire des dossiers de toutes pièces pour nuire
aux personnes. Aujourd’hui, c’est moi. Demain, ce sera une autre. Dans tous les
cas, celle ou celui qui ne va pas ou plus « aux ordres » de quelques
vieux esprits dérangés.

En ce qui me concerne, je suis aux ordres du Bien Commun et de l’Intérêt
Général. Je suis aux ordres d’une société qui se construit sur des principes de
liberté, de responsabilité et sur la façon de vivre dans la meilleure harmonie
entre toutes les composantes de la société. Je lutterai toujours contre ceux
qui basent leur politique sur le dénigrement et la diffamation et tentent
d’écarter de la politique celles et ceux qui la considèrent comme un art majeur
au profit de tous, et non comme un art mineur au profit de quelques uns.
Certains cachent leur bêtise et leur imbécillité derrière leur méchanceté et
leur impossibilité à être intelligents et constructifs.

Je mènerai campagne en 2012. Si comme moi, vous pensez que chaque
citoyen et association d’Ecaussinnes doivent être traités sur pied d’égalité,
si vous pensez comme moi que l’argent des 
Ecaussinnois doit revenir aux  Ecaussinnois
et non être thésaurisé au risque d’être définitivement perdu, si vous pensez
comme moi qu’Ecaussinnes doit définitivement tourner le dos à cette façon
dénigrante de faire de la politique en visant des personnes plutôt qu’en proposant
des programmes et des idées, alors, n’hésitez pas à me contacter. Il est temps
de nous fédérer et de nous demander ce qu’on peut faire pour Ecaussinnes,
plutôt que ce qu’Ecaussinnes peut faire pour nous.

Christine Hemberg

Tel 0477/690965

Mail : baeyens.hemberg@gmail.com

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14 octobre 2011

HEMBERG est dépensière ! Elle endette la Commune !

Voilà à nouveau un canard qui vole et à qui il convient que je torde le
cou. Il faut savoir que la Commune disposait, en début de législature, d’un bas
de laine de plus de 22 000 000 d’euros ! C’est ainsi que des enquêtes
relayées par le « Vif » en 2005 plaçait Ecaussinnes dans les communes
les plus saines de Belgique financièrement, mais en queue de liste en ce qui
concernait les services rendus à la population et notamment en matière
d’infrastructures.

J’ai toujours pensé que l’impôt prélevé devait servir la population
ponctionnée. Il n’appartient pas aux institutions publiques de thésauriser
l’argent collecté auprès des citoyens ou des entreprises, mais bien de le
ristourner en services et en infrastructures pour tous. Sinon, à quoi bon faire
payer des impôts ?

Bien entendu, il convient de gérer au mieux pour offrir les meilleurs
services tout en limitant la pression fiscale et le niveau d’endettement.

J’ai toujours pensé que la réalisation de travaux permettait d’utiliser
l’argent des gens de la meilleure façon. Tout d’abord, les infrastructures
servent à tout le monde et sont donc d’intérêt général. Il peut arriver que l’argent
soit dépensé à des fins particulières, ce qui n’est pas le cas lorsque l’on
fait des travaux.

Ensuite, les investissements publics créent de l’emploi et de la richesse
pour tous. Ils participent à la relance de l’économie dont nous avons bien
besoin en Wallonie. Nous avons la chance de pouvoir rafraîchir notre village
tout en injectant de l’argent dans l’Economie.

Par ailleurs, il est de tendance régulière en Wallonie de prendre l’argent
où il est pour le donner là où il n’est plus (du fait parfois de gestions peu
scrupuleuses). J’en veux pour preuve la volonté du Ministre Furlan qui prône
l’instauration d’une solidarité entre les communes qui prendra en compte les
moyens et besoins de toute la population d’un territoire que le ministre
appelle « Bassin de vie ». Je ne vous cache pas que dans cette
perspective, l’argent prélevé aux Ecaussinnois risque fort de servir les
intérêts d’autres communes…

Il convient aussi de  poser l’utilité de disposer d’un bas de laine communal de plus de 20 000 000 d’euros
dans un contexte bancaire et financier aussi incertain que celui que nous
connaissons aujourd’hui. Des briques, de nouvelles rues, des infrastructures
sportives,… servent au plus grand nombre, ne connaissent pas l’inflation et ne
risquent pas de disparaître dans d’éventuelles faillites bancaires.

Croyez-bien que je lis correctement les comptes communaux et que je
défends toutes les mesures de saines et bonnes gestions. Dernièrement, j’ai dû
m’opposer à la proposition qui voulait que la Commune s’endette pour financer
des travaux. Cette mauvaise décision n’avait d’autres objectifs que de recevoir
quelques menus avantages de la part de la banque émettrice (quelques places à
des évènements sportifs ou culturels) et de pouvoir hurler au « scandale
Hemberg » qui « endette la Commune ». Une fois encore, je dois
remercier les conseillers, tant de l’opposition que de la majorité, qui luttent
avec moi pour éviter les dérives politiciennes onéreuses.

Aujourd’hui, le bas de laine communal reste incroyablement élevé et l’endettement
de la Commune est quasi nul. Cela doit être un cas unique en Belgique. Nous
disposons toujours de plus de 20 000 000 d’euros qui fondent comme neige au
soleil du fait de la crise financière. Si je pouvais transformer 10 000 000
d’euros en de nouvelles infrastructures pour tous, je le ferais. Mais je ne
dispose pas d’une baguette magique. La réalisation de travaux demande d’y
consacrer beaucoup d’énergie tant les dossiers sont lourds et complexes. Je ne
peux que remercier l’Administration qui continue à exercer son travail malgré
les difficultés rencontrées au niveau de la majorité ou les multiples
pressions.

Cela étant, des travaux aux Ecaussinnes sont réalisés grâce à des
subsides. Je m’empresse de le dire avant que d’aucun ne sorte que ce n’est pas
le cas. Mais ici encore, le pouvoir subsidiant, la Région wallonne, se montre
parfois moins prodigue vis-à-vis de communes qui présentent des comptes comme
ceux d’Ecaussinnes !

Voilà. Être gestionnaire, c’est faire le choix d’investir quand il y a
autant d’argent dans les caisses. Votre impôt doit vous servir. Il ne sert à
rien de vous faire cracher au bassinet si c’est pour thésauriser votre argent
au risque de le perdre, ou enrichir les banques. Prévoir quelques provisions ou
réserves pour prévenir les coups durs est une chose. Le montant de plusieurs
années de recettes en réserve me paraît être inutile, voir dangereux par les
temps qui courent.

Je reste à votre disposition.



 



Je reste bien entendu à votre disposition pour toute information
complémentaire.

13 septembre 2011

Préserver le caractère rural de notre village ou préserver notre cadre de vie ?



Jouer sur les mots, ne pas avoir la même définition des notions avec la
mauvaise foi en prime et le tour est joué.

Préserver le caractère rural de notre commune est l’argument utilisé par
certains pour créer des immeubles imposants. Ils sont en cela encouragés par la
Région wallonne. En effet, cette théorie veut que l’on densifie le centre pour
réserver la périphérie (à tout le moins pour un temps) et au diable notre cadre
de vie, le bien-être des habitants.

Je dis haut et fort qu’il faut préserver notre cadre de vie. Ce cadre de
vie, c’est un minimum de verdure (organisée ou non), ce sont des places de
parking en suffisance sans pour autant transformer nos routes en garages
permanents, c’est quelques jeux pour nos enfants, etc.

Je ne suis pas opposée en soi à de nouvelles constructions variées car
nous avons tous des besoins différents. Dès lors, il est normal de prévoir des
villas, des maisons mitoyennes, des appartements à condition de préserver le
bien-être et l’équilibre des quartiers.

Quelques exemples valent mieux que de longs discours.

Les bâtiments de la place Cousin. Ils remplacent un chancre, ils ont été
modifiés en fonction des remarques des riverains après plusieurs réunions de
concertation (des vraies !) et le promoteur a dû, en charge d’urbanisme,
nous rétrocéder un espace vert aménagé avec des bancs, des luminaires et un
sentier en pavés. On peut affirmer que cela a créé une plus-value pour le
quartier notamment par le contrôle social exercé maintenant sur cette zone.

Le bâtiment au croisement de la rue A Mary et la rue A Pouplier. Nous
avons exigé une réduction substantielle du volume, une nouvelle découpe de
l’angle au niveau du croisement et l’incrustation de pierres bleues dans la
façade. Vous me direz probablement que c’est insuffisant et vous n’aurez pas
tort.

Les 18 appartements prévus à la rue Casterman se sont transformés en 4
maisons unifamiliales !! A la rue voisine, les 15 appartements prévus à la
rue du Daim sont restés 15 appartements. Je suis parfois indignée par la
différence de traitement entre les dossiers tant quant à l’ampleur des
constructions autorisées qu’aux charges d’urbanisme imposées. Je m’indigne
parfois aussi quant à la différence de traitement réservée aux infractions
urbanistiques tant certains sont ennuyés pour des broutilles pendant que
d’autres peuvent tout se permettre.

Pour le bâtiment de la rue du Daim, je n’ai pas pu participer à la
décision d’octroi puisque mon frère a une parcelle de terrain jouxtant le
projet. Je n’ai pu que constater, comme d’autres, les nombreuses irrégularités
de ce dossier et les très nombreux mensonges. Un recours au Conseil d’Etat est
toujours en cours.

Ce building n’est que le début d’une longue série puisqu’une voirie
traversant la zone a été à la base de la décision d’octroi. En effet, une
dérogation pour une construction en profondeur a été délivrée à cause de cette
construction future. Cette route partirait de la rue du Daim pour aboutir à la
rue de la Marlière et/ou à la rue de la Haie, le tout rempli de buildings mais
pour le moment il ne faut pas trop en parler pour ne pas risquer de
compromettre le projet. Actuellement, on ne veut parler que d’un cul-de-sac
mais tout initié sait que la Région wallonne ne veut pas de voirie sans issue.

Il suffit de passer devant ce bâtiment pour apprécier « l’adéquation
avec le contexte bâti ». Il s’agit pourtant de l’argument avancé par le
Fonctionnaire Délégué de la Région wallonne. Ce même fonctionnaire, dernièrement,
estimait qu’à la rue de Restaumont, un œil de bœuf au-dessus d’une porte
d’entrée dans une nouvelle villa était une « posticherie » en
inadéquation avec le contexte bâti et demandait son remplacement par une fenêtre
bien carrée. Je vous assure que c’est la vérité. A tomber par terre !

A la rue Cuvelier, la grosse problématique est indéniablement le
stationnement des riverains. D’autant que le parking sur trottoir devra être
abrogé. Il est donc impensable de densifier sans résoudre ce problème. Il faut
apporter un plus pour tout le quartier dans le cadre d’un nouveau projet.

Préserver notre cadre de vie et l’avis des riverains à chaque fois que
c’est possible est mon objectif mais dans le respect de l’intérêt général et du
partage de l’espace public entre tous les usagers.

Pour les gros projets de voirie j’ai toujours travaillé en concertation
avec les riverains. Cela n’a pas toujours été facile, loin s’en faut. Les
critiques parfois fusent et souvent un projet est perçu par les riverains avec
beaucoup de préjugés. Je dois souvent expliquer que la proposition peut-être
amendée pour finalement pouvoir travailler ensemble et tenter de faire
converger des intérêts souvent opposés.

J’entends que pour les autres travaux, à savoir les constructions de bâtiments,
de vraies concertations puissent avoir lieu et que les projets soient
effectivement adaptés.

Il en a été ainsi pour le lotissement Bel Air II. Personnellement, je
trouvais qu’il fallait le finaliser avant que les règles de densification du
centre ne s’accentuent davantage. Par ailleurs, pour ce gros projet, plus d’un
hectare sera rétrocédé à la commune, espaces verts, verger, place communale,
sentiers, le tout pour avoir un cadre de vie agréable. C’est un objectif à
garder.

En conclusion, je confirme qu’il ne faut pas confondre le faux argument de
la préservation du caractère rural qui n’est qu’un leurre pour justifier les
buildings au centre du village et qu’il faut se battre tous ensemble pour la
préservation, voire l’amélioration de notre cadre de vie dans le respect de
tous les usagers de l’espace public. C’était et c’est toujours l’objectif
poursuivi par tous les représentants du groupe ACE. C’était notre promesse
électorale et nous, nous l’avons toujours tenue.

Christine HEMBERG

28 août 2011

Discours prononcé lors de la fête des jubilaires en août 2011.

Nous nous retrouvons encore une fois cette année pour fêter les couples qui ont le plaisir de partager leurs noces d’or, de Diamant et de Brillant. Vous connaissez, c’est certain, l’équilibre nécessaire pour arriver à cet anniversaire important. La patience, le respect, la complicité et bien évidemment l’amour. Le tout dans un équilibre fragile qu’il convient d’assurer, voir de gérer, au quotidien.

Chaque année, cette fête est pour moi l’occasion de vous dire quelques mots plus profonds. Je me souviens vous avoir fait part de la force et de l’expérience qui est la vôtre et que nos jeunes ont tant de mal à imiter. Du lien de sagesse qui se brise entre les générations et qu’il est urgent de restaurer. De la fierté aussi qu’il faudra pour assumer notre destin. Déjà en 2008, lors de la fête annuelle, je vous avouais mon inquiétude quant à l’avenir de notre pays. Je vous disais alors qu’il nous faudrait de la clairvoyance et du courage pour assumer ce destin auquel nous ne pourrons plus échapper longtemps. Il nous faudra accepter et laisser la Flandre se tromper si nous ne voulons pas nous perdre car plus aucun autocollant n’arrivera a recollé ce qui a commencé à se briser dans les années 70. Tout comme un couple qui fait le choix de faire chambre à part ou qui décide de briser l’équilibre fragile en supprimant la solidarité entre eux glisse doucement mais certainement vers le divorce. S’il l’un d’eux n’accepte pas, s’acharne, s’accroche quoi qu’il en coûte, il sera le perdant mais dans une bien plus grande mesure que s’il avait relevé la tête et commencé à assumer son avenir propre. Tel est notre destin.

En ce qui me concerne, l’exemple des négociations fédérales me choque. Trop de mensonges, trop de simplismes encombrent les débats. Sans doute que le système électoral belge et le nombre impressionnant d’institutions ne sont pas étrangers au climat politique délétère que l’on connaît. Certains sont en effet prêts à toutes les vicissitudes pour, non pas faire avancer les choses, mais pour démolir ceux qu’ils considèrent comme leurs concurrents. A cette façon de faire de la politique, moi, je tourne le dos. Seul l’intérêt général compte, seul le travail au profit du plus grand nombre m’importe. Pour le reste, que du bavardage inutile…

Et donc, trêve de bavardage puisque nous sommes ici pour mettre en évidence ceux et celles qui sont parvenus à s’aimer longtemps dans le respect mutuel. Je les invite à venir me rejoindre.

 

21 août 2011

Où en est le quartier central ?

Beaucoup de riverains me demandent où en sont les travaux du quartier central. Pour votre information, le chantier doit reprendre dans quelques mois lorsque les problèmes relatifs aux conduites de gaz seront réglés. Les négociations à ce propos sont en cours.

En ce qui concerne le chantier lui-même, et notamment la constitution de la berme centrale, il faut rappeler que le projet a fait l'objet de plusieurs réunions citoyennes, d'une enquête publique, d'une analyse de la CCATM, de l'IBSR, du service mobilité,... soit un cheminement particulièrement long et ce afin de prendre en considération toutes les remarques. Il convient d'ajouter que ces travaux ont fait l'objet d'un vote unanime au niveau du Conseil communal et répondent au souhait de la Région wallonne de privilégier les usagers faibles.

La berme centrale a pour objectif de limiter la vitesse des automobilistes et de sécuriser les cyclistes qui doivent circuler au centre de la bande. Il était impossible de créer des pistes cyclables en sites propres car la largeur de la rue ne le permettait pas. Je suis opposée à des chicanes dangereuses ou à des casses-vitesses particulièrement bruyants. Il est évident que la régulation des vitesses excessives doit passer par des aménagements qui invitent naturellement l’automobiliste à diminuer sa vitesse. Ce principe de bermes centrales a été adopté dans de nombreux villages à la grande satisfaction des riverains.

Il manque actuellement une couche de finition. Lorsque celle-ci sera posée, il n'y aura aucune difficulté à traverser la berme centrale en voiture.

Je suis étonnée d'apprendre que circule une pétition à propos de ces travaux émanant de surcroit d'un membre du Collège communal qui a lui-même proposé et voté ces travaux. Il s'agit là d'un exemple parmi d'autres de ce qu'il faut endurer au quotidien. Heureusement, Ecaussinnes peut souvent compter sur une opposition qui se veut constructive et qui n'a jusqu'à présent jamais véritablement bloqué des projets importants pour la Commune, même s'il eut été parfois aisé pour elle de le faire. Je tiens ici à saluer les conseillers, de l’opposition comme de la majorité, qui ne considèrent pas la politique comme un ring au sein duquel tout, et surtout n’importe quoi, est permis.

Par analogie, la nouvelle place de Nivelles a fait l'objet de critiques. Aujourd'hui, elle est encensée par ceux-là même qui la critiquaient tant. L'art est difficile et la critique est aisée.

Il va de soi que je reste à la disposition de celui ou celle qui voudrait des explications complémentaires mais je tiens à signaler que cette nouvelle disposition a fait l'objet d'études afin de nous assurer que ces travaux apporteront une véritable plus-value à l'artère principale du village.

 

Christine HEMBERG

 

0477/69 09 65

 

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22 mars 2010

Mes débuts sur internet !

Bonjour,

Je franchis enfin le pas ! J'ai décidé de me lancer sur la toile ! Echevine des travaux et des seniors à Ecaussinnes, je pense que je me dois de communiquer via ce moyen. Il me permettra de vous parler des projets, des réalisations, de vous informer sur les travaux en cours, et sur les projets.

N'hésitez d'ailleurs pas à me laisser des messages. Je vous répondrai dans la mesure de mes possibilités.

Bien à vous,

Chrisitine Hemberg

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