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Le Blog de Christine Hemberg : conseillère communale de l'Action Citoyenne Ecaussinnoise (ACE) à Ecaussinnes.
christine hemberg
3 octobre 2015

URBANISME : Rue Perniaux, permis octroyé pour la construction d'un building dans la réserve naturelle de Restaumont ? Magie !

En avril 2014 était publié au Moniteur le périmètre de la réserve domaniale dite de la carrière de Restaumont après enquête publique réalisée par la Commune. La carte reprenant le périmètre de la réserve est très claire : le terrain sur lequel devrait s'implanter l'immeuble à appartements rue Perniaux est repris dans la réserve, rendant du même coup le terrain non-constructible.

Ma question au dernier Conseil communal qui traitait du volet "aménagement public" relatif à ce projet était donc légitime : pourquoi discutons-nous de l'octroi d'un permis pour la construction d'un immeuble dans une réserve naturelle ?

La seule réponse verbale obtenue jusqu’alors était qu’on aurait "oublié" de reprendre la parcelle en question dans la liste rébarbative des parcelles reprises dans l'arrêté de classement !! A la bonne heure... Sachant que l'Urbanisme est aux mains des écolos à Ecaussinnes, c'est un comble ! Quoi qu'il en soit, c'est bien dans le périmètre de la réserve naturelle des carrières de Restaumont, tel que repris sur la carte, qu'une procédure de délivrance de permis est effectivement entamée.

Mais qui obtiendra ce permis ? L'affaire était brumeuse.

Le terrain semble appartenir à la société Prinvest B ayant comme objet social l'acquisition de biens pour compte de tiers. Le demandeur du permis, quant à lui, est un citoyen de Soignies n'ayant pas du tout le profil d'un promoteur immobilier et n’ayant rien à voir a priori avec le propriétaire. Quel mic mac ! On pouvait seulement remarquer sur le site internet du demandeur qu’il avait un partenaire privilégié, bien connu chez nous, à savoir la société IMOGES de notre ami conseiller communal Sirault. L’architecte est également bien connu comme étant celui du sieur Sirault… Mais, affirmation à l’appui, ce dernier niait toute implication dans ce dossier. Dont acte. Si Monsieur Sirault nous dit qu'il n'a rien à voir avec ce dossier, c'est qu'il n'a rien à voir avec ce dossier. On sait qu'il n'a pas pour habitude de mentir, ni d'utiliser son mandat à des fins personnelles...

Ce lundi 28 septembre 2015, le Conseil communal avait à traiter des aspects touchant le domaine public de ce fameux permis. Coup de théâtre : le promoteur conseiller communal Eric Sirault a déclaré qu'il ne participerait pas aux débats. La raison ? Malgré toute l'énergie mise, trop de gens avaient de lourds soupçons sur la réelle identité de ce fameux propriétaire masqué qui s'est, in fine, avéré bel et bien être Monsieur Sirault ! Cela ne l'a pas empêché de rester, après une très brève sortie, dans la salle du Conseil pour vérifier que tout se passait selon ses plans...

C'est donc par divers tours de passe passe que Monsieur Sirault semble parvenu à franchir une première étape devant aboutir à l’obtention d’un permis dans une réserve naturelle. D'abord, on aurait "oublié" dans l'arrêté de classement en réserve la parcelle en question, et ensuite le permis devait être octroyé sans que le nom de Monsieur Sirault n'apparaisse, avant même qu'il se déclare, acculé par l'évidence, comme étant le réel propriétaire du terrain.  Il nous aurait donc menti ! J'en suis encore toute retournée... Je n'osais y croire. Ce garçon semblait si honnête et voulant s'investir en politique pour le bien de tous, dans un désintéressement total. 

Beaucoup de questions demeurent. Pourquoi la Commune compte-t-elle traiter une demande de permis sans se poser la question de savoir si ce terrain est, oui ou non, constructible ? "On a "oublié" de reprendre la parcelle en question dans l'arrêté. Est-ce une réponse satisfaisante sachant que c’est cette majorité qui a participé au classement de la zone ? Qui et pourquoi a-t-on oublié ? Ce serait donc une erreur matérielle ? Est-elle réellement créatrice de droits pour le propriétaire du terrain, qu'il soit masqué ou non ? A quel moment la mutation immobilière a-t-elle eu lieu ? In tempore non suspecto ?

Pourquoi le Conseiller communal Sirault a-t-il voulu se cacher derrière un tel écran de fumée ? A-t-il voulu se cacher de sa propre majorité ? Ce serait un moindre mal. Ou, plutôt, a-t-il voulu cacher derrière une brume opaque une opération immobilière douteuse avec la complicité de la majorité au pouvoir à Ecaussinnes ? Ce serait plus grave. Quoi qu'il en soit, un conseiller communal n'a pas à se cacher derrière une société écran.

Et les autres ? Quelle est leur implication dans cette fumisterie? Comment justifier que, dans la délibération proposée, on oublie de mentionner les votes négatifs émis par la CCATM ? Encore un "oubli" ? Toute la majorité était-elle complice ? A cet égard, un vote divergent m'interpelle...

On se souviendra aussi que la Commune, dans le cadre du dossier "Cuvelier", avait effectué des essais de sols sur le terrain de Monsieur Sirault quelques jours avant le lancement de la construction de l’immeuble... Là aussi, ce serait l'entrepreneur qui se serait "trompé"...

Formidable, n'est-il pas ?

Je me demandais pourquoi le MR n’obtenait rien de cette majorité. je commence à comprendre. Toutes les cartouches sont brulées pour servir Monsieur Sirault. Il ne reste dès lors rien pour servir les valeurs libérales et les écaussinnois...

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27 mai 2015

Avis du citoyen : démarche respectueuse ou simple slogan électoral : du TTIP à la rénovation de Sainte-Philomène !

Aujourd’hui, timidement mais fermement, le citoyen entend reprendre sa place sur l’échiquier politique.  Il était temps. J’espère qu’il n’est pas trop tard.

L’heure est à la prise de conscience et au constat. Même s’il est difficile de combattre les lobbies, de transcender les individualismes, l’action citoyenne est indispensable pour sortir l’Humanité d’une spirale particulièrement destructrice et mortifère.

Que ce soit en opposition aux OGM, à Monsanto, au TTIP, au nucléaire, au lobby agroalimentaire qui vise à tuer les artisans comme les producteurs de fromage de Herve, aux multinationales qui ont manifestement pris le pouvoir au niveau des instances européennes, le citoyen comprend qu’il est temps de réinvestir l’espace démocratique devenu moribond.

Au niveau de notre pays, on se rend compte également des malaises de notre démocratie. La justice n’a plus les moyens de fonctionner correctement et une réforme en cours paraît particulièrement dangereuse sur le plan des principes démocratiques. En donnant la possibilité au Parquet de poser des actes liberticides, c’est pratiquement au Ministre qu’on donne des pouvoirs exorbitants. C’est dangereux. Je ne voudrais pas vivre dans un pays où les opposants politiques pourraient se voir arrêtés pour des motifs futiles. Les citoyens doivent s’opposer à de telles mesures, tout comme ils se lèvent contre les OGM, contre le TTIP et d’autres choix inacceptables pour notre avenir.

Au niveau local, le rôle du citoyen est aussi important de nos jours. Il a toujours été, pour moi, bien plus qu’un slogan électoral. J’ai toujours pris en compte l’avis des citoyens lorsque, Echevine des travaux, je réalisais des chantiers. Je me suis battue pour élaborer des projets les plus conformes aux attentes des riverains et j’ai apporté mon aide aux citoyens confrontés à la pression immobilière excessive.

Au niveau du Plan communal de Développement rural, j’ai voulu donner la meilleure information en respectant l’avis émis par les membres de cette commission. En ce qui concerne Sainte-Philomène, je soutenais au départ l’idée de mon colistier Jean-Pierre LEGGE d’y installer les bureaux du CPAS. Ce projet, peu coûteux et raisonnable, a malheureusement été coulé par le Fonctionnaire Délégué de la Région wallonne qui voyait dans le tas de briques de Sainte Philomène un patrimoine à ce point extraordinaire qu’il entendait garder outre les façades, ce qui était prévu, tous les volumes intérieurs. De la sorte, le Fonctionnaire Délégué torpillait tout projet raisonnable quant au coût. Dès lors, la volonté de la Commission Locale de Développement Rural (CLDR) a été d’y faire une maison multiservices (bibliothèque, salle polyvalente, ateliers d’insertion professionnelle,…) et de sauver le bâtiment, comme le voulait le Fonctionnaire Délégué. Le budget tournait autour des 2.000.000€ et un subside de 1.200.000€ a été attribué à notre commune. L’auteur de projet a dès lors poursuivi sa mission mais des postes supplémentaires sont venus s’ajouter au budget comme, par exemple, les aménagements extérieurs exigés par les pompiers. Par ailleurs, un problème de stabilité est venu se greffer rendant l’exécution de la programmation intérieure problématique. Il fallait, soit réduire les activités à développer sur le site, soit, et c’est l’option qui a été choisie par la nouvelle majorité, construire une annexe. Un nouveau projet a alors vu le jour avec la construction d’un nouveau bâtiment. Evidemment, le budget n’était plus du tout le même. On parlait désormais de 4.000.000€, voire plus. Le Collège a renoncé puisque la part communale allait devenir insoutenable. On ne peut que lui donner raison.

 Mais, dès lors, que faire pour ne pas perdre le subside alloué ? Un nouveau projet a donc été présenté à la Commission Locale de Développement Rural par Madame l’ Echevine Areti Boscoupios qui vient de succéder à Mme Cécile Saint Ghislain. Madame Boscoupios a d’emblée marqué des points en confiant que l’avis de la CLDR était important. On ne peut que l’en remercier car il faut bien constater que dans d’autres domaines, la nouvelle majorité n’a que faire de l’avis des citoyens…

Quant au dossier lui-même, d’une maison multiservices, telle que voulue par la CLDR, il n’en reste pratiquement rien, si ce n’est une minuscule salle polyvalente et des ateliers de réinsertion pour le CPAS. Le reste ? 10 logements kangourou pour personnes précarisées. Quant au coût, la facture devrait être de +/- 3.000.000€ ! Trois millions pour 10 logements, soit 300.000€ par logement ! A la hauteur des loyers perçus par ce type d’occupants, je vous laisse juge de la rentabilité d’un tel investissement destiné au bonheur de quelques personnes clientélisées… On est loin de l’idée d’une maison multiservices ouvertes à toute la population !

 Si l’idée de départ de la CLDR était de garder le bâtiment, on parle cette fois d’une démolition-reconstruction. La demande allait être faite au Fonctionnaire Délégué. Changera-t-il d’avis en fonction de la nouvelle majorité ? Je ne serais pas étonnée… Mais alors, si ce n’est pas pour garder le bâtiment, quel est l’intérêt d’une telle dépense ? Autre constat des membres, où est la maison multiservices ouverte à tous ? Il n’en reste rien ou si peu : 54 m² pour une salle de réunion et des ateliers d’insertion professionnelle pour le CPAS. Peanuts !

Finalement une majorité de la CLDR a dit non à ce projet de logements. La maison sera multiservices ou ne sera pas. La CLDR espère avoir bientôt un autre projet correspondant à ses attentes avec un avis clair sur le fait de devoir garder le bâtiment ou de pouvoir le démolir afin de faire un choix en connaissance de cause. La CLDR compte maintenant sur sa représentante au Collège communal pour pouvoir avancer dans ce dossier dans le sens de l’avis des citoyens, ce qui a été promis par la nouvelle Echevine.

7 février 2015

Après "fasciste", me voici désormais "poujadiste" ! Ben voyons...

Le Conseil communal de ce 19 janvier avait pourtant bien commencé. Après les attentats de Paris, nous avons eu droit au traditionnel discours, tremolos compris, sur la liberté d’expression, la tolérance, le respect et tutti quanti, rôle dans lequel tout politicien se doit d’exceller, Monsieur Dupont compris.

Très vite, les choses ont dégénéré.

J’ai voulu expliquer pourquoi je votais contre l’octroi d’un subside communal à la toute nouvelle ASBL « Agence de développement local ». A l’heure des rationalisations,  ACE s’était opposé à la création de nouvelles institutions à l’efficacité douteuse dont raffole malheureusement la Wallonie exsangue.  D’autant qu’à Ecaussinnes, cette ASBL a été créée, et son directeur engagé sur des bases parfaitement clientélistes, voire népotistes, en bon camarade désœuvré bien étiqueté, alors même que la Commune n’a aucune certitude d’obtenir le subside régional destiné à financer la nouvelle structure.

J’ai eu droit, de la part du Bourgmestre, a une réponse de très haut vol et d’une honnêteté intellectuelle indiscutable : « Nous notons que Madame Hemberg est opposée au développement économique d’Ecaussinnes ! ».  Que les choses soient claires. Je suis évidemment favorable au développement économique d’Ecaussinnes, mais si une quelconque Agence de développement local avait un jour favorisé un autre développement économique que celui des gens qu’elle rémunère, cela se saurait et la Wallonie friande des machins serait depuis longtemps l’une des régions les plus riches du monde.

Le Bourgmestre  nous a d’ailleurs fait part de sa crainte de voir le dossier de subside du nouveau brol bloqué par le Cdh de Monsieur Deschamps. On crée donc un brol pour offrir un emploi à un camarade très proche, on le fait sans attendre la promesse de subside, et on prétend que si on n’a pas le subside, c’est à cause d’un adversaire politique. C’est certain, on est en Wallonie : la pistonnerie politique à tous les niveaux, peu importe le consistance d’un dossier ou l’opportunité d’une dépense.

Je comprends de mieux en mieux les difficultés que j’ai pu avoir comme échevin sans relais : bâtons dans les roues, tutelles particulièrement pointilleuses, le tout piloté depuis Ecaussinnes.  Je me souviens aussi de cet ouvrier communal qui m’informa qu’après la manifestation organisée contre moi en 2010, les manifestants s’étaient vus offrir un verre à la maison du peuple. Il suffit de voir les mouvements contre le gouvernement fédéral pour comprendre notre « démocratie ». Un démocratie sans le PS est inacceptable pour le PS et tous les moyens sont bons pour le faire comprendre.

Ainsi donc, Ecaussinnes se voit dotée d’une nouvelle structure inutile, dirigée par un camarade assez beau et presque frère sans qu’ on ne sache vraiment à quoi le bidule va servir si ce n’est au développement économique de son directeur, et au développement électoral du PS.

J’ai osé également poser une question technique sur un convention relative à l’accueil des animaux errants.  Rien de transcendant si ce n’est simplement soulever le fait que la Commune, selon les termes de cette convention, devait être à même d’accueillir des animaux les nuits et les Week-end.  Cela en était de trop pour le Bourgmestre pour qui j’avais atteint, je le cite, « le sommet du poujadisme ».  Être poujadiste serait donc montrer que la majorité n’a rien mis en place pour respecter les engagements qu’elle fait prendre à la Commune. Drôle de définition…

A noter également qu’était mis à l’ordre du jour, erronément, mais sciemment, à huis clos, le dossier de la démolition d’un bâtiment suite à l’arrêt du Conseil d’Etat annulant un permis d’urbanisme délivré par la Commune. On ne peut décidément pas parler de tout à Ecaussinnes…

MR et Ecolo restent complices d’errements qu’ils critiquent tant quand ils sont dans l’opposition…

Allez, vive la liberté d’expression, la démocratie, la tolérance et le respect des autres à Ecaussinnes,….

 

20 avril 2013

Quelques précisions sur la nouvelle AUTOROUTE du quartier Central !!

Beaucoup de personnes me demandent pourquoi certains aménagements au Quartier Central ont été enlevés par la nouvelle majorité PS-MR-Ecolo. Cette dernière m’a fait savoir qu’il s’agirait d’une demande des TEC… qui, en remerciement, ont d’ailleurs immédiatement fermé des lignes de bus desservant les Ecaussinnois…

La réalité est autre : démolir le travail d’Hemberg est devenu un projet politique en soi, une forme de sport politique écaussinnois presque ridicule.

Petit rappel historique :

Il y a quelques années, le Collège avait fait le constat que cette voirie était pathogène, largement dégradée et dangereuse du fait de la vitesse excessive de certains usagers. Ce vaste projet d’utilité publique a donc été lancé. Il était novateur avec pour mission essentielle de créer des aménagements imposant le respect de la zone 30 à proximité de la pharmacie, de l’école maternelle du Quartier et de la ruelle conduisant au local des mouvements de jeunesse. La volonté était aussi de ralentir la vitesse sur la totalité du tronçon et d’améliorer la convivialité, notamment par un éclairage adéquat, l’ouverture de la vue vers le trou de carrière avec zone de repos et plaine de jeux, casse-vitesse au niveau de l’entrée du lotissement Bel-Air, plateau délimitant la zone 30 et îlots directionnels au carrefour avec l’Avenue de la Déportation.

Le Conseil communal de l’époque avait décidé à l’unanimité de charger un bureau d’étude pour la réalisation de ce projet. Le cahier spécial des charges précise que le bureau d’étude devra proposer des aménagements pour ralentir de façon efficace la circulation et notamment par l’implantation d’une berme centrale. L’ensemble du Conseil communal était donc bien d’accord sur l’idée d’implanter une berme centrale !

Malgré les manœuvres dilatoires purement politiciennes, le permis a finalement été obtenu parce que, justement, la problématique des usagers faibles avait été intelligemment prise en considération. Soulignons à ce propos l’originalité de la berme centrale qui, même franchissable, allait permettre de réduire naturellement la vitesse des véhicules. Le chantier pouvait donc être lancé.

Comme dans beaucoup de chantiers, des problèmes essentiellement liés aux impétrants, (gaz et eau) sont apparus : les conduites n’étaient pas où elles étaient censées l’être et nous avons eu les pires difficultés pour que cette mise à niveau se fasse. Il existait vis-à-vis de la commune une certaine rancœur datant des années 2003-2004 quand la Commune avait refusé la mise des impétrants en trottoirs.

Pour retarder le chantier, un échevin, Christian Jauniau, a fait circuler une pétition pour démolir le projet qu’il avait lui-même voté. Surréaliste, mais pour couper court et avancer, j’ai été d’accord pour que ce projet soit revu par un autre bureau d’étude, celui chargé de l’élaboration du Plan Communal de Mobilité.

Au moment de mon départ, il restait à mettre la dernière couche indispensable pour pouvoir franchir aisément les îlots en cas de besoin. Ainsi, il ne devait y avoir aucune difficulté en venant de la rue Casterman de tourner à gauche vers la gare. Il restait aussi à mettre les bandes transversales de couleur, les marques cyclistes (en voirie puisqu’il s’était avéré impossible d’implanter une piste cyclable en site propre), les cents barrières pour empêcher le stationnement sur les trottoirs, les bornes en pierre pour empêcher le stationnement dans les parterres, la plaine de jeux, l’espace de repos, les bancs, poubelles et autres parkings vélos.

Si la météo a ralenti la fin de ce chantier, la volonté politique de la nouvelle majorité a été de laisser pourrir ce dossier, pour mieux le modifier en douce.

Aujourd’hui, on nous donne l’excuse du TEC pour justifier les modifications. Il est exact que les TEC souhaitaientl’enlèvement des aménagements. Fallait-il obtempérer ? Non, pour deux raisons majeures :

1) Les TEC étaient parfaitement au courant du projet. Présents aux réunions du Plan Communal de Mobilité, ils n’ont remis aucune remarque et le même principe de berme centrale se retrouve d’ailleurs dans la version finale de ce plan adopté à l’unanimité du Conseil communal ! Plan Communal de Mobilité tant réclamé par l’opposition de l’époque. Aujourd’hui adopté et déjà ignoré !!

2) Les TEC voudraient plus de bus articulés (inexistants chez nous au moment de la conception du projet) pour diminuer le nombre de chauffeurs. Si on suit le raisonnement, il faudra abattre les ponts de la SNCB rue A Pouplier si les TEC décidaient de faire rouler des bus londoniens. Pour rappel, la berme prévue était facilement franchissable par les véhicules, notamment les bus mais encore fallait-il le montrer en posant la dernière couche d’asphalte.

Il y aurait eu également un problème pour les camions de livraison mais dans le projet, des zones de déchargements étaient prévues ; alors pourquoi ne pas les avoir implantées provisoirement si ce n’est pour susciter le mécontentement.

Quant au bac à arbre qui a été enlevé à la rue Casterman sur demande de la Police Haute Senne, il posait problème pour une question de mobilité mais dans le cadre de l’étude, c’est justement la mobilité qui imposait d’en mettre un à cet endroit pour que les piétons soient dirigés vers le trottoir, mieux adapté, se situant de l’autre côté de la route. Cherchez l’erreur…

Aujourd’hui, plus aucun aménagement pour ralentir la circulation, plus aucun aménagement de sécurité, tout a été enlevé. Plus de berme centrale, plus de plateau pour la zone 30, plus de casse-vitesse à l’entrée du lotissement, plus d’îlots directionnels au carrefour avec l’Avenue de la Déportation, pourtant essentiels pour la traversée de la rue Bel-Air, etc. Aucun vote au Conseil communal, ni de permis d’urbanisme pour ce faire alors même qu’une partie du projet se situe dans la zone protégée du château et que ces modifications changent toute la nature du projet. A quoi bon, quand on est au-dessus des lois... Mais génial ! On va à nouveau pouvoir rouler à plus de 100 km/h en zone 30 et mettre les enfants et riverains en danger ! Quant aux bacs à arbres, inoffensifs dans un projet prévu pour une circulation ne pouvant dépasser 30 à 50km/h, ils s’avèreront désormais être de véritables pièges mortels…

Le but de mon travail a toujours été de partager équitablement la voirie entre tous les usagers. Aujourd’hui, il y a un retour en arrière et un réel danger, tant pour les usagers faibles que pour les automobilistes.

La majorité PS-MR-Ecolo a démoli toute la philosophie de mon travail, celui de la CCATM et de mon collègue, échevin de l’urbanisme, sans décision du Conseil communal et sans permis, à l’ancienne, comme certains ont toujours fait…  J’ai un réel doute sur la responsabilité civile de la commune en cas d’accidents qui, j’en ai peur, risquent fort d’être bien plus graves que quelques tôles froissées.

Je ne peux pas encore vous dire, à l’heure actuelle, si le reste des aménagements, le placement des barrières, bancs, poubelles, parkings vélos, plaine de jeux, bandes transversales de couleur, éclairage seront mis. Il était également prévu, pour les rendre plus esthétiques, de garnir les bacs à arbres avec du lierre retombant et des fleurs blanches. Je ne sais pas non plus si cela sera fait. Cependant, je ne doute pas que le travail de destruction continue dans la même philosophie générale de désinformation.

Je ne comprends pas comment Ecolo laisse faire de telles inepties. J’imagine qu’ils n’ont pas eu droit à la parole…

Mais réjouissons-nous ! La nouvelle autoroute va bientôt être inaugurée. Sortons les dragsters pour fêter l’événement Piétons et riverains, aux abris…

Christine HEMBERG

0477/69 09 65

 

15 octobre 2012

Un grand merci !

Voilà, les écaussinnois se sont prononcés !

Je tiens à remercier celles et ceux qui ont porté leur choix sur les candidats de l'Action Citoyenne Ecaussinnoise. Nous améliorons notre score par rapport à 2006, ce qui est loin d'être le cas de la liste « Ensemble », ex « EC+ ». Nous sommes donc le seul partenaire de la majorité sortante à avoir été réconforté. Nous échouons à un fifrelin du second siège qui a finalement été attribué à ECOLO. Madame Godefroid-Bulteau, Bourgmestre sortante, a été désavouée par la population, preuve que cette dernière peut se montrer clairvoyante.

En ce qui concerne mon score personnel, dans le contexte difficile que nous connaissions, je le prends pour un encouragement à poursuivre. Un tout grand merci aux 418 personnes qui m'ont soutenue. Je suis donc désormais la 4ième candidate sur 126 en terme de préférence, derrière Monsieur Sébastien Deschamps, Monsieur Xavier Dupont et Monsieur Jean Dutrieux. Une responsabilité que je ne manquerai pas d'assumer.

Le Rassemblement libéral aura trois élus grâce à l'apport de Monsieur Dutrieux, notre ancien Bourgmestre...

Il semblerait qu'un accord PS-RL-Ecolo soit conclu. Nous vivrons donc, comme souvent en Wallonie, avec un accord parfaitement contre nature et particrate, prévu de longue date. L'apport d'Ecolo permettra sans doute d'adoucir le Collège en matière d'urbanisme débridé où se rencontrent, assez bizarrement, ce parti et les libéraux les plus intéressés.

L'Action Citoyenne Ecaussinnoise mènera donc une opposition constructive sans éviter de dénoncer les grands écarts que la nouvelle majorité sera dans l'obligation de faire tant les promesses des uns et des autres faites aux citoyens devront rapidement faire l'objet de courbes rentrantes.

J'ai vécu une nouvelle expérience humaine très forte avec les candidats d'ACE. Rien que pour cela, le jeu en vaut la chandelle.

A bientôt,

 

Christine HEMBERG

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11 octobre 2012

De la transparence, en voici en voilà !

La campagne électorale touche à sa fin. Je me permets de vous communiquer le coût de notre campagne que je trouve déjà trop élevé :

8 x 100 affiches 35 x 50 : 8 x 110 € TTC soit 880 euros, dont voici le relevé :
100 ex Ophélie Hemberg
100 ex Guy Demange
100 ex Christine Hemberg
100 ex Jean-pierre Legge
100 ex Valérie Meunier
100 ex Luc Simonis
100 ex Kicho Dondekwe
100 ex Michel >Decamps

4.800 tracts A4 : Action citoyenne : 496 euros TTC

3 x 100 affiches 35 x 50 : 8 x 110 € TTC soit 330 euros dont voici le relevé :
100 ex Christine Hemberg
100 ex Daphné Waterloo
100 ex Régis Duez

1.000 tracts Régis Duez : 167 € TTC

4.800 tracts Christine Hemberg : 362 euros TTC

4.800 tracts Jean-Pierre Legge : 362 € TTC

4.800 programmes de 16 pages : 2 832 € TTC

 

Ajoutons plus ou moins 355 euros de bois divers et quelques données à collecter mais qui ne changeront pas fondamentalement le résultat. L’Action Citoyenne Ecaussinnoise aura ainsi dépenser moins de 6 000 euros pour l’ensemble de sa campagne, toutes dépenses confondues, que ce soient celles destinées à l’ensemble de la liste ou celles destinées aux campagnes personnelles des candidats. Nous sommes bien loin des sommes déraisonnables dépensées par certaines autres listes.

Les campagnes personnelles sont prises en charge par les candidats eux-mêmes. Le coût de la campagne de liste sera partagé entre les mandataires.

Les partis traditionnels reçoivent des moyens de leurs partis qui sont financés directement par vos impôts ou par d’autres voies que je qualifierais d’"alternatives". Ceci explique parfois la gabegie.

En ce qui me concerne, j’espère que l’étalage d’argent ne sera pas porteur au niveau électoral, au risque de voir encore, si cela devait encore être possible, une nouvelle surenchère lors de prochains scrutins.

D’ici dimanche, je vous invite à consulter notre site internet et bien entendu, je reste à votre disposition au 0477/69 09 65.

 Bien à vous,

Christine HEMBERG

WWW.ACECAUSSINNES.BE

19 septembre 2012

Que de dépenses !

Une fois encore, nous sommes tous témoins de la gabegie au niveau des dépenses électorales. On assiste à une explosion de la testostérone dans l’affichage, comme des adolescents qui jouent à qui pissera le plus loin ou le plus haut !


Pour information, chaque liste peut dépenser jusqu’à 9 492 euros pour sa campagne électorale. Au-delà, chaque candidat a le droit de dépenser pour sa campagne personnelle jusqu’à 1 250 euros. En cumulant les dépenses de liste et les dépenses par candidat, chaque liste peut donc dépenser jusqu’à 35 742 euros, soit 214 452 euros pour l’ensemble des 6 listes écaussinnoises.


En ce qui concerne l’Action Citoyenne Ecaussinnoise, nous finançons par nous-mêmes notre campagne et nous serons bien en dessous de ce plafond. La limite est sans doute atteinte pour le RL et Ensemble. En ce qui concerne Monsieur Deschamps, on peut se rendre à nouveau compte que Monsieur « No Limit » est à l’œuvre. Et pourtant, 1 250 euros, c’est assez peu, surtout si on veut absolument son effigie en couleurs sur des formats d’affiches encore jamais vus ! On comprend pourquoi le législateur est intervenu, même si pour certains, la loi semble faite pour les autres.


A voir l’énergie déployée par d’autres pour imposer presque à chaque Ecaussinnois des affiches et des panneaux, on peut se demander jusqu’où ira cette escalade. On voit d’ailleurs dans certains jardins, presque toutes les couleurs réunies.


En ce qui nous concerne, nous ne voulons pas importuner les gens en leur imposant d’avoir nos têtes affichées chez eux absolument. Il aurait été aisé comme échevine des travaux et des seniors d’obtenir, ou d’extorquer, des accords chez bon nombre d’Ecaussinnois, car il faut savoir que peu de personnes osent dire non. Dans certains cas, les habitants ont vu fleurir des panneaux chez eux sans même avoir été consultés.  Cet étalage d’argent qui tourne à rien est absolument invraisemblable et j’espère bien contre productif.


Le plus important reste le programme ainsi que les compétences et l’éthique personnelle de celles et ceux qui veulent le défendre. J’estime que se vendre comme une poudre à lessiver par un matraquage débile est indigne de la classe politique et des Ecaussinnois. Quand on dépense autant pour sa campagne, l’élu ne verra alors en son mandat qu’un retour sur investissement qu’il faudra rendre le plus rentable possible. Une dérive qui ne sera pas à l’avantage des Ecaussinnois !
Le FDF, les Ecolos et même le PS restent mesurés.
De notre côté, nous resterons modérés et nous respecterons la législation.
N’hésitez pas à consulter notre programme sur WWW.ACECAUSSINNES.BE car seul le programme reste, les affiches s’envolent !

Christine HEMBERG

0477/69 09 65

2 septembre 2012

Présentation de la liste de l'Action Citoyenne Ecaussinnoise !

Le 6 septembre prochain, l'Action Citoyenne Ecaussinnoise présentera sa liste et son programme à la Presse !

Sans vouloir dévoiler les noms, je peux vous dire que l'Action Citoyenne présentera 4 mandataires sortants, 4 indépendants ou chefs d'entreprises, une personne active au sein du syndicat libéral pour l'enseignement libre, des cadres d'entreprises, des fonctionnaires, des étudiants, des enseignants, des pensionnés ... soit un large panel de citoyens de tous les horizons, sans œillères, prêts à dépasser les clivages pour poursuivre les changements de nos villages.

Sur un autre plan, l'Action Citoyenne Ecaussinnoise présentera des jeunes, des plus anciens, des personnes d'expérience en politique, d'autres sans mais offrant la fraîcheur indispensable que les partis traditionnels ne permettent plus, des nouveaux écaussinnois, des écaussinnois de souche, soit un ensemble de citoyens libres, motivés, dynamiques et animés par une seule ambition : servir leurs villages et leurs habitants de façon responsable, en toute humilité, mais avec force et fermeté !

N'hésitez pas à visiter notre site. Il évolue tous les jours !

WWW.ACECAUSSINNES.BE

A bientôt,

 

Christine HEMBERG

0477/69 09 65

27 août 2012

L'Action Citoyenne Ecaussinnoise se dote d'un site internet !

Chères Ecaussinnoises,

Chers Ecaussinnois,

 Nous y sommes ! L’Action Citoyenne écaussinnoise est prête ! Notre liste est constituée. Nous formons un groupe uni et ouvert constitué de citoyens et citoyennes ayant bien l’intention de jouer un rôle majeur et salutaire dans la gestion de nos villages. Nous avons profité des jours de vacances pour concocter un programme que nous vous présenterons au fur et à mesure de la campagne. Mais d’ici là, je vous donne d’ores et déjà rendez-vous sur notre site internet réalisé par Luc Simonis :

 WWW.ACECAUSSINNES.BE

 L’Action Citoyenne est aujourd’hui plus que nécessaire, elle est devenue indispensable !

A bientôt !

Christine HEMBERG

0477/69 09 65

6 juin 2012

C'est reparti ! L'Action Citoyenne Ecaussinnoise, plus que jamais nécessaire !

Chers Ecaussinnois,

Chères Ecaussinnoises,

 

Cette fois, la décision est prise : nous relancerons l’Action Citoyenne Ecaussinnoise pour les communales prochaines !


La Wallonie a reçu un sursis de 10 ans pour relever la tête. Ce Renouveau wallon passera d’abord par la gouvernance communale. Le Redressement de la Wallonie appartient aux wallons et wallonnes, aux citoyens de Wallonie, investis dans leur commune. Trop souvent, le clientélisme, parfois la corruption, les intérêts partisans ou la particratie ont ruiné les aspirations des wallons et des wallonnes, des Ecaussinnois et des Ecaussinnoises, à retrouver les chemins de la réussite collective, la fierté d'appartenir à une société moderne, définitivement tournée vers l'avenir et le progrès.

L’Action Citoyenne a pu peser pour une meilleure gouvernance aux Ecaussinnes, mais des choses restent à faire. Nous avons redonné à la politique ses lettres de noblesse en exigeant que les institutions écaussinnoises fonctionnent à nouveau. Nous avons rendu à la classe politique le soin de réellement décider de l’avenir de notre village. Malheureusement, certains n’ont su que faire de cette responsabilité nouvelle et ont montré l’étendue de leur manque de maturité. J’ai été ainsi la cible, malgré moi, de ceux qui voulaient ma mort politique à tout prix. Loin d’être abattue, cela me renforce dans l’idée que nous sommes sur la bonne voie. La politique est un art majeur. Il convient donc d’appréhender les responsabilités qui sont confiées avec humilité, et surtout en gardant à l’esprit que celles-ci ne le sont pas uniquement pour favoriser des groupes particuliers ou des « clients » prédéfinis, et rendre la vie difficile à ceux qui s’opposent à vous pour des raisons idéologiques. La chance de pouvoir servir son village, c’est l’occasion d’œuvrer pour tous ses habitants, ceux d’aujourd’hui, mais aussi ceux de demain, car les décisions importantes auront un impact pendant de nombreuses années. Si pour de minables profits immédiats, ces décisions sont mauvaises, elles ruineront le bien-être des gens pendant longtemps et éroderont un peu plus encore la confiance que les gens doivent avoir en leurs élus et dans les institutions politiques et administratives. L'abstentionnisme aujourd'hui est un signe inquiétant de la crise de confiance des citoyens en leurs institutions. ACE lutte déjà depuis 6 ans pour restaurer la démocratie. C'est ce qui explique parfois les démarches politiciennes entreprises pour tenter de noircir notre travail. La démocratie implique des élus qu'ils fassent ce qu'ils disent et disent ce qu'ils font. J'ai pu remarquer que parfois, certains font le contraire de ce qu'ils disent ou disent le contraire de ce qu'ils font. Il est temps de sortir le discours politique de la simple « com » destinée à manipuler l'opinion.

Ainsi, dans ce que j’ai pu réaliser au niveau de l’échevinat des travaux, j’ai toujours travaillé dans une perspective d’un mieux vivre pour tous, même si parfois les pressions sont fortes pour favoriser les demandes de groupes particuliers. J’estime que la réflexion politique doit être générale, pour tous, et pas uniquement dirigée pour favoriser les intérêts de certains, même si le point de vue de ceux-ci doit également être pris en compte. Cette façon de voir les choses permet de concevoir des projets qui, une fois réalisés, rencontreront au mieux les aspirations de chacun. Des projets concertés donnent la garantie qu’ils seront acceptés. J'ai eu beaucoup de mal à lancer les travaux. J'ai eu autant de mal à les réaliser. Sans cesse, j'ai été contrariée par ceux et celles avec qui ACE avait signé un pacte de majorité. Ceux-là qui demain tenteront sans doute de vous faire croire que la réalisation des tous les travaux a été possible grâce à eux…Je ne remercierai jamais assez les membres du Conseil communal, qu'ils soient de la majorité ou de l'opposition, qui ont choisi d'œuvrer dans l'intérêt d'Ecaussinnes et des Ecaussinnois plutôt que de mettre en place des stratégies machiavéliques en vue de détruire mon travail. 

En matière d’urbanisme, c’est la même chose. Les intérêts des demandeurs ne sont pas les mêmes que les intérêts des riverains ou de tous. S’il faut intensifier l’urbanisation pour faire face à la demande de logements, la Commune doit jouer, non seulement le rôle d’arbitre entre ces différents intérêts, mais aussi, de façon globale, réfléchir à ce que sera Ecaussinnes dans 20 ou 30 ans. Que va-t-on permettre de bâtir ? Où ? Comment concilier la vie de quartier avec les aspirations parfois démesurées des promoteurs ? Quels sont les quartiers qui permettent une densification ? Ceux qui ne le permettent pas ? Une foule de questions doit pouvoir être posée. En fonction de ce qui sera décidé, il conviendra ensuite de résister aux nombreuses pressions et intimidations pour construire harmonieusement l’Ecaussinnes de demain. Bien entendu, beaucoup d’argent est en jeux. Et alors ? Celui-ci doit-il être le seul argument ? Arbitrer n’est point chose aisée. Il faudra pourtant le faire. Les projets immobiliers devront assurer une rentabilité appréciable à leurs promoteurs, c’est indéniable. Mais ils devront également s’inscrire dans des objectifs de développement soutenable, durable, notamment en termes de mobilité, de sécurité, ou d'égouttage. En matière de politique urbanistique, la majorité sortante s’est parfois fourvoyée. Le groupe EC+, à l’exception de Monsieur Domange, n’a en rien respecté ses engagements électoraux, et c’est regrettable. Sur ce point, ACE, n’a pas toujours eu la possibilité d’éviter le pire.

Chers Ecaussinnois, Chères Ecaussinnoises, C’est certain : le monde ne changera pas immédiatement par un coup de baguette magique. Mais changer notre Village et certaines pratiques est à notre portée. Je vous invite donc à commencer par là !

Si vous êtes intéressé(e), je reste à votre entière disposition au 0477/69.09.65

Christine Hemberg

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